« Il était temps !» diront certains. « Et merde !» diront d'autres.
Quoi qu'il en soit, voilà que je poste à nouveau sur ce blog. Les raisons en sont multiples et variées. Et il n'y a en même temps pas de raison précise... juste l'envie d'écrire.
Aujourd'hui, ça fait 500 jours :) C'est rigolo comme nombre. En tout cas il me fait sourire, sourire de ce bonheur de vivre à deux. Comme a dit un jour quelqu'un « Parce que quand tout va bien, il n'y a pas grand chose à dire, mais plutôt à vivre », je crois que je pourrais alors arrêter d'écrire. Mais l'envie reprend le dessus, on se dit qu'on a quand même envie de dire des choses, de s'exprimer. D'abord pour dire que je suis heureux, épanoui dans cette relation, et que je signe pour encore des tas d'autres 500 jours, et des deux mains.
Aussi pour me rendre compte que je relativise par rapport à certaines choses. J'ai eu une période de haine profonde pour Aurélie. Bah, elle l'avait un peu cherché. Elle est allée très loin dans ses convictions et s'est enfermée dans une vision de moi qui ne colle pas exactement à la réalité. Sans doute ai-je fait pareil de mon côté. Aujourd'hui, je me dis que c'était un peu idiot, et je ne lui en veut plus vraiment, j'en reste indifférent. Les choses sont ce qu'elles sont, et je ne vais rien faire pour les changer, mais je ne suis plus en période de rejet, et j'accepterai tout mouvement de sa part d'enterrer la hache de guerre. Mais j'attends un mouvement de sa part, car je ne veux pas risquer d'empirer les choses. Sait-on jamais...
J'ai aussi passé un examen aujourd'hui. Résultat 10/20. Que je ne méritais pas. Mais bon, me voilà débarrassé de Victor Hugo. Et plus j'avance, et plus je me dis que la littérature, c'est pas mon truc. Enfin non, pas exactement. Disons juste que j'aime la littérature, mais que je n'ai pas envie d'en faire un objet d'étude. J'ai l'impression que la linguistique pourra d'avantage m'apporter à partir de la rentrée toute proche. Reste plus qu'à réussir les 5 autres. Normalement, ça devrait aller !
Je suis allé voir un film, « Quelque chose à te dire », dont on retrouvera prochainement la critique sur ce blog, à la date d'aujourd'hui. Il faut juste que je publie les nombreuses critiques que j'ai accumulées depuis des mois. Je pense que je vais faire cela en remontant le temps, histoire de mettre d'abord ce qui est le plus frais dans mon esprit. Un peu de patience donc, mais cela ne devrait pas tarder.
J'ai aussi testé Villo! ces derniers jours, puisque j'ai ma carte annuelle depuis la semaine dernière. Et principalement aujourd'hui. Je voulais tenter le truc en revenant du ciné. Pour ceux qui connaissent, je suis parti de la porte de Namur, en passant par la rue du Trône, qui se prolonge par la rue de la Couronne, puis rue de l'Automne, de l'Été, de l'Université, puis l'Avenue Héger. Pour arriver Avenue Roosevelt, et me rendre compte que la station n'y était pas encore activée. Enfin si, la station disait « Cette station est fermée entre 01h et 04h du matin, mais vous pouvez déposez votre vélo » (en termes presque exacts). Sauf que quelque chose bloque physiquement la possibilité de déposer le vélo. Résultat, j'ai du aller jusqu'au croisement Louise/Vleurgat pour trouver une station qui soit activée (et prendre le 94 pour rentrer chez moi). Tout cela en 28 minutes, pour un trajet qui, si je l'avais su, m'en aurais pris à tout casser 10... Bah, ça a fait une petite ballade sympathique et l'occasion de tester ces engins sur une plus grande distance que 200-300 m. Je dois dire qu'ils sont plutôt pas mal faits, assez légers, avec un nombre de vitesse suffisant. Je les ai trouvé relativement maniables et relativement stables. Bref, rien à redire sur le vélo en lui-même. Par contre, j'espère que JC Decaux (que je ne porte déjà pas dans mon cœur, allez savoir pourquoi) va se magner a activer les stations indiquées en blanc sur le plan. Peut-être à la rentrée ? Et j'espère aussi que cela va se développer, et qu'on en trouvera davantage encore dans les mois qui viennent, un peu comme à Paris, parce qu'il me semble que c'est un compromis intéressant pour une ville comme Bruxelles. Nous verrons bien dans les mois qui viennent.
Voilà, c'est tout ce qui me vient pour aujourd'hui. À tout bientôt !
